Jamais j’aurais penser être à la limite de l’autonomie à 45 ans
C’est difficile en ce moment. Je dirais même très difficile. La maladie me ronge le peu d’énergie qu’il me reste et je passe le plus clair de mon temps à dormir ou à regarder les nouvelles. La médication réussie à endormir la douleur mais elle est là, en permanence, au plus profond de moi.